Alex Heaven 69 's blog
Alain
Ca y est, ils étaient enfin arrivés là où Alain voulait se rendre. Depuis le temps
qu’il en rêvait, de cette portion de plage nudiste. Elle n’était pourtant pas très loin,
au bout de la grande plage de sable blanc, juste avant les rochers. Mais les parents
d'Alain lui avaient interdit d’y mettre les pieds.
Il avait fallu un concours de circonstance pour que son désir devienne réalité.
D’abord, il avait fait la connaissance de Patrick, un garçon de son âge, qui y
allait de temps à autre, en compagnie de son oncle. Il lui avait parlé de ce
coin, mettant l’eau à la bouche d'Alain. Puis, le matin même, les parentsd’
Alain durent s’absenter pour aller en ville toute la journée. Alain avait
sauté sur l’occasion, désireux de profiter de cette aubaine. Ce n’était pas
Michel, son frère aîné, qui allait l’en empêcher. D’autant plus que lui-même
allait passer l’après-midi sur un dériveur du club de voile, en, compagnie d’un
ami à lui.
Patrick avait retiré son maillot, une fois dépassé les piquets de bois
signalant la plage naturiste. Alain en fit de même. Cela lui fit tout drôle de
marcher ainsi complètement nu, le slip de bain roulé en boule dans sa main.
Juste devant lui, Patrick lui présentait son corps longiligne, bronzé, ses
jambes fines, ses fesses étroites. Si la marque du maillot de bain était
visible, on voyait quand même qu’il avait passé des heures complètement nu au
soleil. Ce n’était pas le cas d'Alain, qui exhibait ses fesses et son ventre
blancs comme neige.
Sur la plage, il y avait foule. Des hommes, des femmes, des couples, des
enfants en train de jouer comme sur n’importe quelle plage. Les adultes
bronzaient, discutaient, se promenaient.
Alain n’avait jamais vu de naturistes, aussi regardait-il de tous côtés,
impatient d’engranger en lui le souvenir de tous ces corps offerts à ses
regards. Patrick continuait d'avancer, se dirigeant peu à peu vers les dunes.
Car le garçon avait réservé à Alain une surprise.
Il y avait de moins en moins de monde. Quelques hommes déambulaient, tous aussi
bronzés les uns que les autres. Alain remarqua que nombreux étaient ceux qui
s’étaient rasé le pubis, mettant en valeur leurs pénis dont certains étaient de
taille impressionnante, comparée à la sienne. Patrick marchait toujours.
Ils dépassèrent plusieurs dunes, au sein desquelles des couples s’étaient
isolés. Des couples hétérosexuels, mais aussi des hommes, des femmes, en couple
ou plus, se faisant dorer au soleil de juillet, bavardant, certains se
caressant. Mais rien de plus.
Soudain Patrick fit signe à Alain de marcher avec prudence. Il avait repéré
quelque chose. Un peu plus loin, un homme était allongé sur le côté, la main
serrant un pénis érigé, raidi. Il regardait juste au dessus de la butte de
sable. Patrick s’approcha, suivi d'Alain. Il était évident qu’il se passait
quelque chose dans le creux de sable tout proche. Alain découvrit ce que
l’homme regardait : une jeune femme suçait le membre de son compagnon, allongé
sur le dos. Le pénis, abondamment lubrifié, brillait au soleil. Alain et
Patrick s’accroupirent juste derrière le haut de la butte de sable, observant
le spectacle terriblement érotique.
Alain se mit très vite à bander, cachant l’érection de sa main. Un peu
ridicule, vue la circonstance. A côté de lui, Patrick bandait comme un cerf, sa
verge épaisse, courte, dressée à la verticale. Alain jeta un coup d’œil au
membre de son copain de vacances, qui palpitait au bas de son ventre. Il finit
par ne plus cacher son propre organe, aussi tendu, aussi raidi que celui
de Patrick. Il les compara quelques secondes. Le sien était plus long, mais
aussi plus mince. Cintré, il formait une courbe qui faisait toucher le gland à
la peau de son ventre, juste sous le nombril. Si son extrémité était large,
rubiconde, celle de Patrick était plus discrète, rosée, en pointe. Seule une
portion du gland était visible. Son membre, sûrement aussi raidi que le sien,
était pointé en avant, à l’horizontale. Les deux garçons étaient aussi peu
poilus l’un que l’autre. Patrick avait quelques poils noirs assez longs.
Alain n’en avait presque pas, un simple duvet clair ornant les côtés de la
base de son membre.
Alain regarda à nouveau devant lui. La femme, sans se soucier des hommes qui
les regardaient, se mit à genoux, puis à quatre pattes, les bras allongés sur
la serviette de bains. L’homme, tenant son sexe d’une main, se plaça derrière
elle, et sans aucune préparation, se glissa en elle, lentement,
progressivement, jusqu’à ce que son sexe disparaisse presque entièrement entre
les fesses de sa compagne, qui poussa un premier gémissement de plaisir.
Puis l’homme se mit à aller et venir, lentement, les mains agrippées aux
hanches de sa compagne. Son membre, déjà lubrifié de salive, se couvrait
rapidement d’une mousse blanchâtre, épaisse, formant une sorte de bourrelet à
la base de la hampe. De temps à autre, l’homme se retirait complètement, sa
verge se redressant immédiatement à la verticale, claquant sur le ventre velu.
Comme par magnétisme, la verge d'Alain palpitait simultanément.
L’homme seul, un peu plus loin, poussa un gémissement. De sa verge érigée
jaillirent une série de gouttes blanches, retombant plus loin sur le sable
blanc. Les yeux fermés, il savourait son plaisir, le ventre tendu en avant.
Jamais Alain n’avait vu une éjaculation aussi abondante, qui jaillissait à
plus d’un mètre de l’homme. Celui-ci, soudain dégrisé, se redressa, puis
s’éloigna, la verge encore à demi érigée.
C’est alors qu’Alain sentit une présence derrière lui. Un homme était
accroupi derrière les deux garçons. Le crâne rasé, le pubis imberbe, épilé, il
devait avoir la quarantaine. Le bronzage qu’il arborait montrait qu’il avait
passé d’innombrables heures au soleil. Alain regarda son pénis. Long, semi
érigé, il se terminait par un gros gland en forme de corolle. Un anneau de
métal argenté était glissé autour du membre, en arrière des testicules épais.
- Alors, Patrick, qu’est-ce que tu fais ici ? Tu n’es pas avec ton oncle?
Tu as emmené un petit copain pour faire son éducation ?
Alain était
stupéfait. Patrick était connu de cet homme, visiblement. Il lui
répondit en souriant :
- Et oui, pour une fois, je suis sans mon oncle.
Et se tournant vers moi :
- Lui, c’est Alain. C’est la première fois qu’il vient ici.
Alain remarqua alors que la verge de Patrick, visiblement, s’était dressée un
peu plus, découvrant la totalité de la pointe violacée, brillante d’humidité.
L’homme, sans rien dire, s’approcha de Patrick, lui caressa les fesses, puis le
sexe.
A suivre ...