Histoires Hot

Jeudi 27 mai 4 27 /05 /Mai 09:07

Bambi08 v2


Alain est terrifié et terriblement excité à la fois en entendant les propos de sa maîtresse. Elle vient de retirer ses doigts de sa hampe et il se sent orphelin du contact agréable de ses phalanges sur son sexe, sur le bout de son gland. Elle l’a fait durcir et voici qu’elle l’abandonne, invitant un inconnu à se substituer à elle. Jamais un homme n’a touché Alain, jamais jusqu’à ces jours-ci il n’aurait pu imaginer accepter cela. Mais là, dans le feu de l’action et soumis comme il l’est aux terribles caprices de Denise, il se surprend à espérer que son amant va lui obéir,

 

 

A suivre ...

Par alex heaven 69 - Publié dans : Histoires Hot - Communauté : Jouir et plaisir
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Mardi 25 mai 2 25 /05 /Mai 05:55

 

des010

Alain tend l’oreille. Il entend des pas qui se rapprochent dans l’escalier. Il y a ceux de Denise, il les reconnaît. Ses talons aiguilles frappent bruyamment le marbre des marches. C’est au cliquetis régulier de ses pas qu’il anticipe chaque soir son retour lorsqu’elle revient de la ville où elle est allée se faire baiser, le laissant seul, le plus souvent attaché au radiateur qui lui tient lieu d’unique compagnon. Ce soir elle n’est pas seule, d’autres pieds se posent plus discrètement sur les marches. Peut-être s’agit-il d’une voisine rentrée dans l’immeuble en même temps que sa maîtresse ?


A suivre ...

Par alex heaven 69 - Publié dans : Histoires Hot - Communauté : Jouir et plaisir
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Samedi 22 mai 6 22 /05 /Mai 16:15

Alain ch1

 

-       Alors, Patrick, qu’est-ce que tu fais ici ? Tu n’es pas avec ton oncle?

 

Tu as emmené un petit copain pour faire son éducation ?

 

Alain était stupéfait. Patrick était connu de cet homme, visiblement. Il lui répondit en souriant :

 

-       Et oui, pour une fois, je suis sans mon oncle.

 

Et se tournant vers moi :

 

-       Lui, c’est Alain. C’est la première fois qu’il vient ici.

 

Alain remarqua alors que la verge de Patrick, visiblement, s’était dressée un peu plus, découvrant la totalité de la pointe violacée, brillante d’humidité.

 

L’homme, sans rien dire, s’approcha de Patrick, lui caressa les fesses, puis le sexe.

 

Alain Chap 2

 

-       Une petite pipe, comme d’hab ? ou une petite branlette ?

 

Joignant le geste à la parole, il se mit à le masturber sous les yeux d’un Alain stupéfait. Ce dernier ne savait plus quoi regarder, le couple en train de faire l’amour, ou son copain se faisant masturber lentement. 

Patrick, sans rien dire, se laissait faire, les mains sur les cuisses. Son pénis, devenu violacé, semblait prêt d’exploser à tout moment. 

L’homme, glissant une main entre ses jambes, se mit à lui caresser les testicules. De l’autre, il se mit à serrer la hampe rigide, faisant gonfler la pointe violacée. Patrick se mit soudain à gémir, sa verge agitée de spasmes. Le sperme perla à l’extrémité du gland, blanchâtre, épais. 

L’homme, rapidement, se coucha devant Patrick, engloutissant le membre jusqu’à la racine. Patrick râla plus fortement, fermant les yeux.

 

Quand l’homme se redressa, se dirigeant vers lui, Alain comprit que c’était son tour. Il remarqua alors combien le pénis de l’homme s’était érigé, allongé, épaissi. Sa taille, sa longueur, étaient impressionnantes. 

Se plaçant entre les deux garçons, l’homme s’empara de la verge d'Alain, la palpant, la caressant, retardant le moment d’une manœuvre plus directe.

Alain, perdu, incapable de résister, se laissait faire. 

Patrick, ne voyant plus Alain, s’était déplacé, se positionnant à la gauche de ce dernier.

Alain découvrait pour la première fois la caresse d’une main d’homme, habile, subtile. Il avait été étonné de la rapidité de la jouissance de Patrick.

Il savait que lui mettrait plus de temps à prendre du plaisir, d’autant plus qu’il s’était masturbé quelques heures plus tôt, sous la douche. Aussi se laissa-t-il aller, appréciant les sensations exquises qui l’envahissaient, toujours les yeux braqués sur le couple en pleine action, l’homme donnant à présent des coups de reins violents à sa compagne, qui semblait les apprécier au vu des nombreux gémissements qu’elle poussait, tête renversée en arrière, mains agrippées à la serviette de bain. Un curieux bruit de chairs humides se fit entendre, en provenance du couple, comme si leurs chairs exhumaient un trop plein d’humidité. On aurait pu croire que l’homme avait déjà éjaculé, tant le sexe féminin dégorgeait un liquide blanchâtre avec abondance. Mais ce n’était que le suc féminin du plaisir, comme Alain put le constater par la suite.

 

Brusquement la jeune femme se mit à crier son plaisir, si sonore qu’on dut l’entendre de fort loin, attirant quelques voyeurs de plus.

Pour l’instant présent, Alain, stimulé fort adroitement par l’homme à son côté, sentait le plaisir monter en lui, irrésistiblement. Comme il l’avait fait avec Patrick, l’homme glissa une main entre ses fesses, caressant l’entrejambe, l’anus, puis les bourses contractées. La jouissance lui fit pousser à son tour des gémissements, des râles. Son cœur se mit à battre à grands coups. Ouvrant la bouche, il haleta, sentant l’éjaculation proche. 

 

Quand l’homme sentit qu'Alain allait jouir, il se pencha, prit le membre de l’adolescent en bouche, recevant presque tout de suite les jaillissements du sperme juvénile. Jamais le garçon n’avait autant joui, avec une intensité proche de l’évanouissement.

Son membre n’arrêtait pas de palpiter, de se tendre, de se contracter avec violence. Cela dura longtemps, longtemps. Quand il rouvrit les yeux, tout le monde le regardait. La jeune femme, à présent sur le dos, caressait le membre de son compagnon, à cheval au dessus d’elle. Celui-ci, se penchant en avant, proposa son membre à la bouche de la jeune femme, qui ne sourcilla pas, ouvrant ses lèvres au membre turgescent. L’embouchant, elle se mit à le sucer, rapidement, ses lèvres coulissant le long du membre déjà bien lubrifié.

Alain réalisa alors que l’homme, à leur côté, s’était mis sur le dos, offrant le spectacle de son membre érigé au maximum, palpitant, impressionnant.

 

-       Allez, les garçons, c’est mon tour, à présent ; Venez me caresser.

 

Patrick réagit aussitôt, prenant le membre entre ses doigts, le branlant rapidement. Il devait savoir qu’il ne jouirait pas très vite

 

- Eh, Alain, viens, caresse-moi les couilles

 

Le garçon s’approcha, encore sous le coup des sensations récemment ressenties. Il porta une main timide sur les bouses épaisses de l’homme, les caressant bientôt doucement. Qu’elles étaient grosses !

 

Un couple s’approcha, visiblement en recherche d’un coin tranquille. L’homme était en érection, sa courte verge à l’horizontale. Il arrêta sa compagne, observant le spectacle. Immobiles, ils ne quittaient pas des yeux ce qui se passait dans ce creux de dune.

 

Patrick accéléra son mouvement. L’homme, visiblement, appréciait, grognant, le corps agité de soubresauts. Son membre, déjà impressionnant, se gonfla d’avantage, rougit un peu plus. Puis, brusquement, ce fut une explosion de sperme, qui fusa sur la poitrine, le ventre, les cuisses de l’homme, qui tendait le ventre vers le haut, immobilisé par la jouissance. Quand sa verge se ramollit sa peau brillait d’une multitude de gouttelettes blanches, y compris sur son visage où une larme blanchâtre brillait au dessus de l’œil droit

 

Un cri fit tourner la tête d'Alain. L'homme, un peu plus loin, jouissait également. Sa compagne, sans rechigner, recevait l’éjaculation masculine, avalant au fur et à mesure le sperme qui  jaillissait au fond de sa gorge.

Quand l’homme, quelques secondes plus tard, s'allongea sur le dos, haletant, en sueur, sa verge palpitait encore, toujours érigée.

La verge d'Alain, par contre, se recroquevillait lentement. Celle de l’homme, à côté de lui, également. Ce n’était pas le cas de Patrick, dont le membre, comme si rien ne s’était passé, se dressait fièrement au bas de son ventre.

 

-       Alors, une petite branlette de plus, Patrick, interrogea l'’homme.

 

Avant que celui-ci ne réponde, il prit le membre de Patrick d’'une main, le branlant rapidement. Il glissa l’autre main entre ses fesses, caressant visiblement la zone anale. Patrick se mit à gémir à nouveau. Le couple dernièrement arrivé sur le lieu était toujours en train d’observer à quelques mètres de là.

Alain, un peu perdu, réalisait, comme dans un rêve, ce qui se déroulait devant lui. C’était tellement incroyable, tellement loin de ce qu’il aurait pu imaginer. Les deux couples, yeux braqués sur Patrick, voyaient celui-ci ressentir un nouvel orgasme qui le faisait gémir, trembler, sursauter. 

Quand le sperme jaillit une nouvelle fois, Alain fut étonné de sa puissance, qui fit retomber les deux ou trois jets spermatiques sur le bras de l'homme, maculant un peu plus la peau dorée.

 

Quand, quelques instants plus tard, les deux garçons s'en retournaient sur la plage pour rejoindre la zone non naturiste, Alain, à son tour, se mit à bander au souvenir de ce qu’il venait d’'expérimenter. Son maillot de bain s’ornait d’'une bosse pas très discrète. De nombreux estivants purent s’en rendre compte

 

Heureusement, une fois arrivés à l’'endroit où ils avaient étalé leurs serviettes de plage, tout rentra progressivement dans l’ordre. Quand Michel vint les rejoindre, quelques instants plus tard, rien ne laissait paraître de leur petite excursion sur la plage nudiste.

 

Alain se promit d’'y retourner au plus vite.

 

Fin

Par alex heaven 69 - Publié dans : Histoires Hot - Communauté : Communauté gay
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Mardi 11 mai 2 11 /05 /Mai 15:23

Alain

 

Ca y est, ils étaient enfin arrivés là où Alain voulait se rendre. Depuis le temps

qu’il en rêvait, de cette portion de plage nudiste. Elle n’était pourtant pas très loin,

au bout de la grande plage de sable blanc, juste avant les rochers. Mais les parents

d'Alain lui avaient interdit d’y mettre les pieds.


Il avait fallu un concours de circonstance pour que son désir devienne réalité.

 

D’abord, il avait fait la connaissance de Patrick, un garçon de son âge, qui y

allait de temps à autre, en compagnie de son oncle. Il lui avait parlé de ce

coin, mettant l’eau à la bouche d'Alain. Puis, le matin même, les parentsd’

Alain durent s’absenter pour aller en ville toute la journée.  Alain avait

sauté sur l’occasion, désireux de profiter de cette aubaine. Ce n’était pas

Michel, son frère aîné, qui allait l’en empêcher. D’autant plus que lui-même

allait passer l’après-midi sur un dériveur du club de voile, en, compagnie d’un

ami à lui.


 

Patrick avait retiré son maillot, une fois dépassé les piquets de bois

signalant la plage naturiste. Alain en fit de même. Cela lui fit tout drôle de

marcher ainsi complètement nu, le slip de bain roulé en boule dans sa main.

Juste devant lui, Patrick lui présentait son corps longiligne, bronzé, ses

jambes fines, ses fesses étroites. Si la marque du maillot de bain était

visible, on voyait quand même qu’il avait passé des heures complètement nu au

soleil. Ce n’était pas le cas d'Alain, qui exhibait ses fesses et son ventre

blancs comme neige.


Sur la plage, il y avait foule. Des hommes, des femmes, des couples, des

enfants en train de jouer comme sur n’importe quelle plage. Les adultes

bronzaient, discutaient, se promenaient.

 

Alain n’avait jamais vu de naturistes, aussi regardait-il de tous côtés,

impatient d’engranger en lui le souvenir de tous ces corps offerts à ses

regards. Patrick continuait d'avancer, se dirigeant peu à peu vers les dunes.

Car le garçon avait réservé à Alain une surprise.

 

Il y avait de moins en moins de monde. Quelques hommes déambulaient, tous aussi

bronzés les uns que les autres. Alain remarqua que nombreux étaient ceux qui

s’étaient rasé le pubis, mettant en valeur leurs pénis dont certains étaient de

taille impressionnante, comparée à la sienne. Patrick marchait toujours.

Ils dépassèrent plusieurs dunes, au sein desquelles des couples s’étaient

isolés. Des couples hétérosexuels, mais aussi des hommes, des femmes, en couple

ou plus, se faisant dorer au soleil de juillet, bavardant, certains se

caressant. Mais rien de plus.


 

 

Soudain Patrick fit signe à Alain de marcher avec prudence. Il avait repéré

quelque chose. Un peu plus loin, un homme était allongé sur le côté, la main

serrant un pénis érigé, raidi. Il regardait juste au dessus de la butte de

sable. Patrick s’approcha, suivi d'Alain. Il était évident qu’il se passait

quelque chose dans le creux de sable tout proche. Alain découvrit ce que

l’homme regardait : une jeune femme suçait le membre de son compagnon, allongé

sur le dos. Le pénis, abondamment lubrifié, brillait au soleil. Alain et

Patrick s’accroupirent juste derrière le haut de la butte de sable, observant

le spectacle terriblement érotique.


 

Alain se mit très vite à bander, cachant l’érection de sa main. Un peu

ridicule, vue la circonstance. A côté de lui, Patrick bandait comme un cerf, sa

verge épaisse, courte, dressée à la verticale. Alain jeta un coup d’œil au

membre de son copain de vacances, qui palpitait au bas de son ventre. Il finit

par ne plus cacher son propre organe, aussi tendu, aussi raidi que celui

de Patrick. Il les compara quelques secondes. Le sien était plus long, mais

aussi plus mince. Cintré, il formait une courbe qui faisait toucher le gland à

la peau de son ventre, juste sous le nombril. Si son extrémité était large,

rubiconde, celle de Patrick était plus discrète, rosée, en pointe. Seule une

portion du gland était visible. Son membre, sûrement aussi raidi que le sien,

était pointé en avant, à l’horizontale. Les deux garçons étaient aussi peu

poilus l’un que l’autre. Patrick avait quelques poils noirs assez longs.

Alain n’en avait presque pas, un simple duvet clair ornant les côtés de la

base de son membre.


 

Alain regarda à nouveau devant lui. La femme, sans se soucier des hommes qui

les regardaient, se mit à genoux, puis à quatre pattes, les bras allongés sur

la serviette de bains. L’homme, tenant son sexe d’une main, se plaça derrière

elle, et sans aucune préparation, se glissa en elle, lentement,

progressivement, jusqu’à ce que son sexe disparaisse presque entièrement entre

les fesses de sa compagne, qui poussa un premier gémissement de plaisir.

Puis l’homme se mit à aller et venir, lentement, les mains agrippées aux

hanches de sa compagne. Son membre, déjà lubrifié de salive, se couvrait

rapidement d’une mousse blanchâtre, épaisse, formant une sorte de bourrelet à

la base de la hampe. De temps à autre, l’homme se retirait complètement, sa

verge se redressant immédiatement à la verticale, claquant sur le ventre velu.

Comme par magnétisme, la verge d'Alain palpitait simultanément.


 

L’homme seul, un peu plus loin, poussa un gémissement. De sa verge érigée

jaillirent une série de gouttes blanches, retombant plus loin  sur le sable

blanc. Les yeux fermés, il savourait son plaisir, le ventre tendu en avant.

Jamais Alain n’avait vu une éjaculation aussi abondante, qui jaillissait à

plus d’un mètre de l’homme. Celui-ci, soudain dégrisé, se redressa, puis

s’éloigna, la verge encore à demi érigée.


 

C’est alors qu’Alain sentit une présence derrière lui. Un homme était

accroupi derrière les deux garçons. Le crâne rasé, le pubis imberbe, épilé, il

devait avoir la quarantaine. Le bronzage qu’il arborait montrait qu’il avait

passé d’innombrables heures au soleil. Alain regarda son pénis. Long, semi

érigé, il se terminait par un gros gland en forme de corolle. Un anneau de

métal argenté était glissé autour du membre, en arrière des testicules épais.

 

-       Alors, Patrick, qu’est-ce que tu fais ici ? Tu n’es pas avec ton oncle?

Tu as emmené un petit copain pour faire son éducation ?


Alain était stupéfait. Patrick était connu de cet homme, visiblement. Il lui

répondit en souriant :

-       Et oui, pour une fois, je suis sans mon oncle.

Et se tournant vers moi :

-       Lui, c’est Alain. C’est la première fois qu’il vient ici.

Alain remarqua alors que la verge de Patrick, visiblement, s’était dressée un

peu plus, découvrant la totalité de la pointe violacée, brillante d’humidité.

L’homme, sans rien dire, s’approcha de Patrick, lui caressa les fesses, puis le

sexe.

A suivre ...

Alain ch2  

Par alexheaven69.erog.fr - Publié dans : Histoires Hot - Communauté : Communauté gay
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Vendredi 30 avril 5 30 /04 /Avr 07:50

LA TETEE

 

Nous avions Germain, mon mari, et moi l'habitude de dormir nus avec notre fils qui trouvait agréable de s'allonger sur moi et sucer doucement mes seins, cette succion soulevait ma poitrine de longs soupirs langoureux.

Cette situation ne manquait pas d'agir sur Germain qui regardait et très rapidement se mettait à durcir et à se caresser.

Aussi je pris l'habitude tout en me laissant sucer les seins par mon fils de branler Germain qui se collait contre nous.

Cette pratique dura quelques temps puis, un jour, le sexe de Germain étant à la hauteur de ma gorge, j'ouvris la bouche et me mis à le sucer. 

Alex notre fils regarda ça avec de grands yeux et reçu un peu de sperme de son père quand il éjacula.

Ce fut pendant quelque mois notre nouveau jeu et ce qui devait arriver arriva.

Alors que je sentais la petite érection d’Alex frotter mon ventre et la grosse bite de Germain s'approcher de ma bouche, Alex intercepta la queue de son père et suça le gland avec gourmandise.

Voir cette petite bouche distendue me fit jouir comme une folle.

Je saisis le petit sexe d'Alex et me mis à le branler doucement.

Nous nous installâmes différemment et pendant qu’Alex suce son père, ma bouche englouti sa petite verge toute rouge et dure.

La jeune tige de mon fils sorti de ma bouche, Germain m'installa en levrette et me pénétra d'un seul coup, sous les yeux écarquillés d’Alex.

Celui-ci se colla contre moi en gémissant "oh maman uh maman" accompagnant mes propre cris.

Germain le poussa par les épaules et le fit glisser sous mon ventre en lui disant "regarde comme maman est bien remplie".

Je sentis ses petits doigts caresser ma chatte et de longues coulées de cyprine engluaient mes cuisses.

Soudain Germain jouit, inondant ma vulve. Il sortit brutalement inondant le visage d’Alex.

Je pris Alex par la main et nous partîmes dans la salle de bain prendre une douche.

Notre lit était grand, aussi après avoir changé les draps, nous nous sommes endormis ensemble, voguant sur une mer de sentiments contradictoires.


Alex est parti à l'école, Germain à son travail.

Je suis seule en nuisette pensive: les lèvres de Alex arrondies sur son gland, ma bouche absorbant sa petite verge et ensuite ses doigts jouant dans ma fente.

Que va-t-il se passer maintenant ? Vais-je revivre ce qui m'est arrivé avec papa et maman ? J'en ai parlé à Germain, ce qui l'avait beaucoup excité.

Moi je revois souvent papa rentrant dans le ventre de maman et me disant regarde ma chérie comme maman est contente, un jour je te ferai pareil et tu crieras comme elle. Il passait son doigt sous ma culotte et je me tortillais de plaisir.

Le soir j'écoutais papa et maman baiser ensemble et je me caressais impatiente d'être à la place de maman.

A ses souvenirs mon doigt caresse mon bouton et je commence à me branler, je ressens à nouveau le goût de la bite de papa la première fois que je l'ai sucé.

J'avais mal aux mâchoires mais j'étais très fière d'entendre ses soupirs de jouissances lorsque son jus emplit ma bouche, j'en recrachais beaucoup mais maman posa ses lèvres sur les miennes et avala le trop plein.

A partir de ce jour je couchais dans leur lit et partageais leurs nuits d'amour et de baise.

Il me dépucela 4 ans après.


Nous sommes restés quelque temps sans reprendre Alex avec nous.

Une gêne s'était installée et mes propres souvenirs s'ajoutaient à la confusion.

Comme toujours je sentais Germain tendu et attentif à mes désirs, lui aussi avait connu des plaisirs que la morale réprouve.

Nous n'avions personne avec qui discuter de cette situation. Si j'en parlais à mon père, ses 65 ans glorieux auraient vite fait de rentrer dans ma bouche, ce que j'adorais faire et maman gémirait sous les coups de butoirs de Germain. Lui de son côté, bien qu'ayant eu de tendres relations avec ses soeurs, elles étaient bien trop loin pour pouvoir en discuter avec elles.

Alors que nous parlions de tout ça installés au salon, Alex couché après une rude journée de vacances, Germain me raconta à nouveau ses premières caresses avec sa plus jeune soeur.

Sa petite fente imberbe et bombée faisait dresser sa jeune queue avec vigueur il adorait qu'Annie, sa petite soeur, s'assoit sur sa figure et il lui passait sa langue de son petit trou à sa fentine qui sentait souvent un peu le pipi.

Lui-même se masturbant avec force et inexpérience. Il s'allongeait sur elle et tentait de faire entrer sa bite, mais échouait chaque fois.

Je commençais à être échauffée et lui aussi. Il avait sorti sa queue pour se branler doucement, l'esprit perdu dans son passé. Pour ma part, culotte enlevée, jambes largement ouvertes, j'écoutais en me caressant.

Mais nous avions un petit voyeur discret qui, caché dans l'encoignure de la porte, regardait et écoutait.

Je crois que Germain avait remarqué sa présence, car ses paroles devenaient moins crues. Au bout d'un moment je le remarquais aussi, que faire ?

Une brusque chaleur envahi mon ventre tout se troubla dans mon cerveau.

Je fis un signe de la main à Alex qui se précipita dans mes bras.

Je l'ai installé entre mes cuisses ouvertes et dégrafant mon soutien-gorge, je lui ai donné mes seins à sucer.

Germain s'approcha et baissa le pyjama de Alex, il prit sa jeune verge bien raide et la frotta sur mon bouton. Je me mis à hurler de jouissance je me rendis compte que lui-même passait sa queue raidie entre les fesses de notre fils, se masturbant avec elles.

Brusquement j'engloutis sa petite bite. Bien sûr, je ne la sentais pas bien et aucun jus bien épais ne coula dans ma chatte, mais je connus une jouissance extrême.

Il me lima comme un vrai petit homme et je l'accompagnais dans ses mouvements. 

Quel plaisir et quelle folie de poursuivre ce jeu affolant. 

Alex couché dans sa chambre, Germain me pénétra sauvagement. Son sexe buta au fond de ma matrice me faisant pousser un cri de douleur. Il se calma et fut de nouveau très doux et très tendre déversant en moi des torrents de foutre. 

Haletant, il sortit de ma chatte, et s'écroulant sur le dos, il me dit avoir joui comme un fou.

"Mieux qu'avec Annie ?" dis-je en souriant.

Tu nous as déjà vu faire ? Cochonne ! Tu sais que j'aime la remplir et toi la lécher après, comme tu aimes sucer ton père. 

Comment sais tu que j'ai sucé papa !

Je le sais car un jour qu'on était seuls, il m'en a parlé. C'est un souvenir qui le fait encore bander.

Il s'est branlé en t'en parlant ?

Oui et je l'ai sucé.

Il est encore vigoureux pour son age.

Oui très, et il est très vicieux il m'a enculé, on s'est bien amusé, il aime les histoires cochonnes. »

Nous nous sommes levés et nous sommes allés voir Alex dormir. Germain m'a encore prit en levrette dans la chambre d’Alex. Je sais ce a quoi il pensait.

 

5 ans ont passé depuis ces premières folies.

Je suis allongée nue sur mon lit. Alex est endormi nu aussi, près de moi, c'est devenu un beau garçon qui rempli le ventre de sa maman d'un beau jus depuis 1 an maintenant. La première fois qu'il a jailli en moi a été un moment de jouissance extrême, Germain nous regardait la bite raide fasciné par le sperme qui coulait le long de mes cuisses. 

Ces souvenirs me firent chaud au ventre et je commençais à me caresser ne voulant pas réveiller mon fils amant car il s'était donné beaucoup dans la nuit

Germain étant parti en course je n'avais personne pour me satisfaire je me levais doucement et téléphonais à mon père pour discuter un peu avec lui mais au ton de ma voix il compris que j'étais excitée et me demanda si sa petite fille chérie avait été déçue par ses males cette nuit et avait besoin de son vieux papa pour la calmer.

Nous branchâmes la web-cam et je pus le voir la braguette défaite à moitie raide en train de se branler. Installée dans le fauteuil les jambes écartées je lui montrais ma fente qu'il connaissait si bien je lui demandais si maman était la, mais elle était sortie. 

Il me demanda si je me souvenais des bonnes parties de baise que nous faisions lui, maman et mon petit frère. Cette pensée m'inonda. Maman et moi étions de vraies salopes toujours prêtes à nous faire monter. Je sentais encore la bite de papa remplir ma petite fente pendant que maman hurlait sous les coups de queue de son fils, ma main s'activait dans ma fente et papa entièrement bandé n'en perdait pas une miette.

Perdue dans mes pensées et regardant papa se branler, je ne remarque pas l'arrivée d’Alex qui s'installant entre mes cuisses largement écartées mit sa langue à la place de mon doigt. Ainsi courbé, il offre à son grand-père ses fesses ouvertes et son petit trou. A cette vue, papa s'agite de plus en plus et lâche de longs jets de sperme qui maculent son ventre. Son cri de jouissance fait tourner la tête à Alex qui voyant cela, me plante son sexe dans la chatte.

Que nous sommes loin de la tétée du début, sa bite dure et fine va et vient avec force dans ma fente, il est infatigable. Papa regarde fasciné sa fille chérie se faire piner par son petit-fils.

Alex jouit brutalement et lâche un long jet de sperme au fond de mon ventre et s'écroule sur le tapis épuisé, son sperme coule le long de mes cuisses. Comblée et heureuse je ne bouge pas laissant ma fente ouverte à la vue de mon père qui regarde affamé et rêvant de prendre la place de son petit-fils, mais ses réserves sont épuisées, avec regret il coupe la communication.

Je passe dans la salle de bain pour me rafraîchir.

Papa a coupé la web cam, je me retrouve seule avec Alex entre les jambes, sa jeune verge bien droite et décalottee frottant ma vulve coulante de jus.

"Viens mon cheri viens dans le ventre de ta maman, baise-moi"

D'un coup de rein, il s'enfonce au fond de moi je le retiens pour bien sentir sa bite et sa peau douce contre la mienne, j'imagine Germain se branlant doucement en nous regardant, mais il doit etre sur le retour des commissions. 

Ah ces idées salaces, la chaleur m'envahit et je commence à remuer les fesses pour faire coulisser la bite d’Alex qui n'attendait que ca, ramenant mes cuisses sur ses épaules, il peut me penetrer jusqu'à ce que je sente battre ses couilles contre mes fesses je commence à gemir, le jus sort de ma fente inondant son bas ventre et mes cuisses.

Je crie ma jouissance dans le cou de mon fils. Je lui dit que sa bite est la meilleure et que si il veut me faire encore plus de bien, il va me prendre par le cul.˜

 

Par alexheaven69.erog.fr - Publié dans : Histoires Hot
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